L'humeur de Squirelito...
Dimanche, ils ne feront pas la fête.
Pas de samba endiablée. Pas de maracas. Pas de caïpirihnas. Ni hurlements de joie jusqu'au petit matin sur la plage de Copacabana.
Le Mondial pour le Brésil s'est achevé lundi soir. Avec des pleurs.
Quelques heures auparavant, l'écureuil de notre dream team, Squirelito publiait sur son blog un billet d'humeur.
Une autre façon - indispensable - de regarder cet événement planétaire. D'élargir la "focale" pour tenter de comprendre le monde, et ce pays en particulier.
Parce que le sport est un objet politique, au sens étymologique, il mérite notre attention. Un regard critique. De l'analyse. Du recul.
En toute circonstance. Quand une Coupe du monde est organisée dans un pays où les inégalités sociales et la pauvreté rythment le quotidien. Quand une Coupe du monde est organisée dans un Emirat Arabe - la Qatar - où les dollards rythment le quotidien.
Quand il devient aussi facteur d'intégration sociale dans les quartiers près de chez nous. Le foot. Et les autres sports. Sans argent. Ni dopage.
Je vous laisse avec Squirelito.
Eva
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http://squirelito.blogspot.fr/2014/07/entre-deux-noisettes-mon-panache.html